CENTRE D’ETUDE ET DE RECHERCHE MEDECINS D’AFRIQUE (CERMA)
27.05.2014
Depuis 2012, la République du Congo expérimente dans le cadre du PDSS1 (Programme de Développement des Services de Santé) le mécanisme de financement PBF (Financement Basé sur la Performance) dans trois départements pilotes : Niari, Pool et Plateaux avec des résultats très encourageants. Pour monter d’échelle, c’est-à-dire étendre ce mécanisme à tous les départements du Congo dans le cadre du PDSS2, sous financement conjoint Ministère de la santé et Banque mondiale il faut disposer des données de base pour mieux mesurer de manière rigoureuse dans le temps et l’espace, l’impact du programme de façon scientifique. Un appel d’offre international a été lancé par la Banque Mondiale mettant en concurrence diverses institutions de recherche, associations, organismes et agences et c’est Médecins d’Afrique à la suite d’un long marathon qui a remporté cet appel d’offre.
Médecins d’Afrique, ONG internationale d’appui au développement socio-sanitaire en Afrique va donc lancer une enquête d’envergure nationale pour le compte du Ministère de la Santé et de la Population de la République du Congo avec le financement de la Banque Mondiale.
L’enjeu est de taille pour le système de santé congolais. Il s’agira d’évaluer la qualité des infrastructures, l’approvisionnement en médicaments, l’état des équipements, la gestion et le reporting sur la santé maternelle et infantile, les recettes et les dépenses des établissements de santé, évaluer la charge de travail, la rémunération et la motivations des acteurs de santé ainsi que leur connaissance de base. Pour les ménages, l’équipe de recherche veut évaluer l’utilisation des services de santé par la population, identifier les obstacles dans l’utilisation des services materno-infantile, évaluer les dépenses de santé, apprécier la perception de la qualité des services de santé et évaluer l’état nutritionnel des enfants de moins de 5 ans.
L’équipe d’investigateurs pour ce travail de recherche, est conduit par Dr Jean Théophile BANZOUZI (Chercheur et coordonnateur du CERMA, Co-Investigateur) et Dr. Davy Irénée LOUVOUEZO (Médecin de santé publique, Co-Investigateur) et de Mr Siffrein BIKOUMOU KOUETOLO (Informaticien-statisticien, Data Manager). MDA a reçu l’appui technique de l’équipe de l’évaluation d’impact de la Banque Mondiale pour cette enquête pour une meilleure synergie et coordination.
Comme pour tout travail scientifique, Médecins d’Afrique a rédigé un protocole de recherche pour l’enquête qui a été soumis au comité d’éthique. Ce travail d’envergure touchera au moins 320 formations sanitaires du Congo, au moins 1600 agents de santé et environ 7800 ménages.
A cette occasion, 68 enquêteurs (enquêteurs ménages, enquêteurs FOSA et agents de dénombrement) et 4 superviseurs terrains et des éléments logistiques vont intervenir dans les 12 départements du Congo sur une période d’au moins 3 mois.
Depuis le 20 Mai 2014, 80 postulants enquêteurs sont en formation pour 14 jours. Une retraite en internat en périphérie de Brazzaville pour ces candidats qui sont formés aux méthodes d’enquêtes, à l’utilisation de la tablette comme outil principal de collecte de données et à la prise de mesure anthropométrique. Après cette formation théorique et pratique, 2 jours seront consacrés à l’enquête teste afin de valider tous les éléments et ajuster au besoin. Les candidats subiront alors un test pour prendre les meilleurs enquêteurs.
Pour reprendre les paroles du Dr Jean Théophile BANZOUZI, Manager du projet pour Médecins d’Afrique, «je n’ai pas le droit d’exiger une responsabilité collective si je n’obéis pas à la loi de la responsabilité individuelle », Médecins d’Afrique, dans le sillage du Ministère de la santé, lance un appel à tous les acteurs de santé, aux familles et autorités politiques et administratives dans les localités de l’enquête afin de faciliter le travail des équipes des enquêteurs. C’est l’occasion donnée à tous d’apporter leur contribution à l’amélioration du système de santé au Congo afin de garantir une meilleure santé pour tous.
|
SANTE/VIH
27.05.2014
Samedi 24 mai 2014 s’est tenue au collège de Djibanar une séance de sensibilisation sur le choléra. La séance a débuté à 11h en présence d’élèves et enseignants du collège sous la conduite des exposants comme M. GOUDIABY, M. SADIO et M. DIATTA, tous professeurs de SVT.
Cette première sensibilisation sur le choléra de MDA a coïncidé avec l’arrivée des premières pluies et les fruits qui mûrissent au sud du pays (la Casamance) et s’était une occasion de parler de cette maladie dont la contamination se fait par absorption d’eau ou d’aliments souillés. Ce thème sur le choléra a pris fin par l’explication des moyens de lutter contre le choléra qui consiste essentiellement à respecter les règles d’hygiène (laver bien les aliments, boire une eau potable, se laver fréquemment les mains, utiliser les latrines…), utiliser la chimio-prévention pour les personnes exposées, dormir la nuit sous une moustiquaire.
La séance a pris fin à 13h05. A partir de 21heures une soirée dansante était organisée, qui a permis de faire rentrer quelques fonds dans les caisses de l’association en prévision des prochaines activités.
Malang Ndiaye, Point Focal MDA Sénégal
|
URGENCES
22.05.2014
A la date du 15 Mai 2014, 173 344 Congolais ont été de Brazzaville vers Kinshasa, selon le ministère provincial de la Santé de Kinshasa. Environ 2 000 personnes se trouvent dans le site Maluku.
Leurs besoins sont de 3 ordres principaux :
- Sécurité alimentaire : le gouvernement a distribué ce vendredi 16 mai 2014 des kits alimentaires aux familles avec un peu d’argent pour leur permettre de se nourrir avant les distributions planifiées par les humanitaires la semaine prochaine.
- Sécurité : le gouvernement a installé des projecteurs afin d’améliorer la sécurité dans le site
- Logistique : 600 ressortissants de l’Equateur ont finalement pu embarquer sur les deux barges mises à disposition par une église laquelle leur a distribué de la nourriture et des vêtements. Le convoi sera accompagné par des volontaires de la Croix-Rouge.
Concernant la santé, la représentation RD Congo de Médecins d’Afrique a démarré le 16 mai 2014 ses activités sur le site de Maluku. 200 personnes ont déjà bénéficié d’un screening médical avant d’embarquer sur le bateau qui doit les emmener dans la Province de l’Equateur. 20 volontaires de MDA ont assuré cette activité au port de Maluku.
|
SANTE/VIH
05.05.2014
C’est à l’initiative de deux étudiantes en formation continue de la faculté de Sceaux qu’aura lieu le Jeudi 7 Mai 2014 à la salle de l’ancienne Mairie de Sceaux, un concert caritatif dont les fonds récoltés serviront à la réhabilitation du dispensaire de Voungouta (Congo).
L’ONG Médecins d’Afrique travaille sur le concept des Centres de Santés Communautaires (CSCOM) depuis 1996. Aujourd’hui ce n’est pas moins de 50 CSCOM qu’elle a mis en place et fait fonctionner au Congo Brazzaville et République Démocratique du Congo. C’est afin de trouver les fonds nécessaires à la réhabilitation du dispensaire de Voungouta (village du sud du Congo) que Sabrina et Emilie, étudiantes à la Faculté de Sceaux se sont associées à Médecins d’Afrique en mettant en place en concert caritatif.
Le dispensaire du village de Voungouta, actuellement presque abandonné pour cause de vétusté et de manque de matériel et de médicaments, est la seule structure de santé disponible pour les 5 000 habitants de Voungouta et des villages environnants dans un rayon de 50 km.
Les fond récoltés serviront à couvrir la réfection des bâtiments, la dotation en matériels et médicaments, le salaire d’un infirmier et d’une sage-femme pour 1 an, la mise en place du comité de santé.
Pour les travaux de réhabilitation, une coopérative d’artisans congolais a été sollicitée, GBA construction, car elle a déjà travaillé à l’aménagement de la source du village et embauche plusieurs jeunes maçons du village. Ainsi, ce projet contribuera non seulement à l’amélioration de la santé mais aussi à la dynamisation du tissu économique local.
Venez nombreux pour passer une bonne soirée et participer vous aussi au projet !
Date du Concert : Jeudi 7 Mai
Horaire : de 19h à 22h45
Tarif : 5 €
Demande et réservation : 06-60-87-07-53 ou 06-75-51-02-28
|
NUTRITION ALIMENTATION
05.05.2014
Médecins d’Afrique a lancé officiellement le 02 Mai 2014 à Matadi, chef lieu de la Province du Bas Congo en République Démocratique du Congo (RDC) le « Projet de prévention de la malnutrition chronique chez les enfants de moins de 2 ans, dans le District sanitaire du Bas Fleuve », qui sera mené grâce à l’appui financier de l’UNICEF. La cérémonie du lancement officiel a été présidée par un représentant du Médecin Inspecteur Provincial et le PRONANUT Provincial. Elle a connu la participation de l’UNICEF, du chef du sous bureau de l’OMS, des membres de plusieurs ministères notamment ceux du Plan, de l’Agriculture et de la communication ainsi que des partenaires du cluster nutrition et sécurité alimentaire.
Ce projet d’une durée de 12 mois a pour objectif de contribuer à réduire la malnutrition chronique chez les enfants de 0 à 23 mois dans 5 zones de santé notamment par la mise en place de l’approche de nutrition à assise communautaire (NAC) pour les 3 axes d’interventions prévus :
- Promouvoir l’ANJE et les pratiques familiales clés ; - Assurer le suivi et promotion de la croissance ; - Coordonner, suivre et évaluer les interventions.
Les besoins en santé des nouveaux-nés et de la mère étant étroitement liés, le projet cible directement 17 870 enfants de 0 à 23 mois, 8825 femmes enceintes et allaitantes et indirectement 108 Agents de santé et 617 Relais communautaires (1 relais par village), dans les zones de santé d’Inga, Seke banza, Vaku, Tshela et Kuimba, dans le District du Bas Fleuve.
La croissance et le développement optimaux de l’enfant étant des conditions fondamentales des efforts du gouvernement pour accélérer le développement économique, Médecins d’Afrique a opté pour la phase 2 de la mise en œuvre du projet, de travailler uniquement en amont des conséquences de la malnutrition aiguë par la définition des actions de prévention de la malnutrition chronique.
Le Bas Congo est la 5ème province en RDC ayant des taux de malnutrition chronique inquiétant, 47% des enfants de moins de 5 ans souffrent du retard de croissance. Les raisons principales sont la méconnaissance des mères sur les bonnes pratiques de l’alimentation, de nutrition et de santé, l’éducation nutritionnelle des jeunes et à l’accès insuffisant des soins de qualité.
Article de Dr Rosette Christiane TSHIENDE Administrateur Survie Médecins d’Afrique RDC admsurvie.rdc@medecins-afrique.org
|
CENTRE D’ETUDE ET DE RECHERCHE MEDECINS D’AFRIQUE (CERMA)
25.04.2014
Dans le cadre du renforcement des capacités de ses volontaires, Médecins d’Afrique organise tous les jeudis de 14h à 16h, des formations à leur intention sur différentes thématiques à son siège social sis au 23, rue Rivière, commune de Gombe à Kinshasa.
Le jeudi 17 Avril 2014, MDA a été honoré par la présence de M. Nathan MULUNDA, Assistant au bureau des Affaires Humanitaires OCHA en RDC, pour remettre à niveau les volontaires de MDA sur le mécanisme de coordination et la réforme humanitaire, y compris ses mécanismes de financement.
La présentation s’est révélée d’une importance particulière vue l’attention de plus de 35 volontaires appelés à apporter un soutien aux populations dans le besoin. Le choix porté sur ce thème était soutenu par le fait que Médecins d’Afrique voulait amener ses volontaires à bien intégrer les principes humanitaires fondamentaux et le fonctionnement de nos partenaires des Nations-Unies. Une discussion soutenue a sanctionné les échanges avec l’animateur du jour avec des préoccupations réfléchies. Ceci justifie le temps pris par cette présentation. La satisfaction à la fin était remarquable chez les volontaires. Un mot de la Représentante a clôturé la journée.
Maguy NGABU CHUMBU CHUDA
Secrétaire en Communication MDA/RDC
|
URGENCES
04.04.2014
Médecins d’Afrique Guinée, sous la direction du Dr Denise Kamano, est mobilisé dans la lutte contre l’épidémie d’ebola dans son pays. La priorité absolue est de stopper la progression du virus tout en prenant en charge les victimes. Médecins d’Afrique a choisi de focaliser son action sur la communication et la mobilisation sociale.
La réunion du Comité National de Crise du 31 Mai 2014, a notamment défini pour la communication les pistes d’action suivantes :
• Diffusion des messages de sensibilisation au niveau des médias (radio, TV, internet)
• Sensibilisation dans les lieux de regroupement (Gares routières, marchés, débarcadères, etc.)
• Sensibilisation porte à porte et distribution de kits d’hygiène dans les villages ou quartiers touchés
• Production et diffusion du bulletin d’information de la santé,
Que faire chacun à notre niveau, au quotidien ? M. Tolno, membre de MDA Guinée, rappelle que quelques règles de base offrent déjà une première protection :
- Lavons-nous les mains à chaque contact avec quelqu’un et surtout avant de manger
- Evitons tout contact à main nue avec les personnes infectées (même leurs vêtements) quels que soient nos liens parentaux ou amicaux car ce virus ne connaît ni frère ni soeur ni ami
- Désinfectons régulièrement au chlore les sols, les toilettes
Les besoins, pour faire face à la crise, sont importants, à la fois en ressources humaines, matérielles et financières:
• RH: Cliniciens, Epidémiologistes, Psychologues, Communicateurs
• Matérielles: EPP, Chlore, savon, pulvérisateurs, médicaments, réactifs et consommables
• Financières: 711 000 $ mobilisés actuellement sur 3 500 000 $ nécessaires pour mener à bien le plan d’action
Vos dons sont les bienvenus pour nous appuyer !
Pour un don en ligne, voici le lien à suivre : http://www.easycoz.com/organisme/projets/medecins-dafrique.html
Pour nous contacter : medecins_afrique@yahoo.fr
|
PROTECTION DES PERSONNES VULNERABLE & DEVELOPPEMENT DU JEUNE ENFANT
01.04.2014
Dans le cadre du projet RESASCO de Médecins d’Afrique (Redynamisation de la Santé Scolaire), une visite médicale a été organisée ce 25 mars 2014, dans la zone de santé de Kisenso avec la pleine participation des élèves de « l’école chrétienne DOVE », la promotrice Madame Cendrine Mongungu et celle des enseignants. Médecins d’Afrique a mobilisé pour l’occasion une équipe de 4 médecins généralistes, 1 psychologue, 1 médecin nutritionniste et 6 infirmiers volontaires, supervisés par Dr. Bruno NTOYA (administrateur santé MDA/RDC) pour faire des consultations médicales afin d’identifier les facteurs qui peuvent influencer et porter atteinte au rendement scolaire des élèves. Nous remercions l’UNICEF qui a mis à notre disposition du mébenbazole 100 mg pour le déparasitage des élèves. Cette activité a permis de réaliser une consultation médicale, un déparasitage et un screening nutritionnel pour 181 enfants, âgés de 3 à 15 ans.
|
SANTE/VIH
23.03.2014
Il s’est tenu le 19 mars 2014 à Libreville la conférence de restitution du Projet d’appui à la société civile pour la lutte contre le VIH/SIDA. Médecins d’Afrique, après avoir contractualisé avec le Ministère de la Santé à travailler sur 2 ans au renforcement des capacités de 8 ONG sélectionnées via un appel à projet. Ce projet d’envergure a permis de faire émerger 6 ONG dont 2 des PVVIH. Un travail lourd et difficile au regard des difficultés intrinsèques des ONG locales. Ces dernières ont cependant relevé le défi avec des résultats forts intéressants comme la cartographie de sites de forte vulnérabilité (MICONE), la mise en place du système de référence contre référence (MICONE, ASI) sur le dépistage, l’identification des enfants PVVIH (AFCG), enquête de satisfaction des PVVIH (DTM), 4 Courts métrages pour la sensibilisation (Espoir), 23 émissions télévisuelles pour la sensibilisation et lutter contre la discrimination, des nombreuses VAD, Causeries éducatives, Enquête en milieu PS masculins (Conscience), etc.
Tous ces résultats ainsi que les outils produits ont été présentés devant un aréopage de personnalités (agences des nations-unies, ministère de la santé, entreprises, les bilatéraux, acteurs clés de la société civile de lutte contre le VIH, etc). Le Coordonnateur Europe en tant que chef de mission a présenté toutes les associations au Ministre de la santé, puis Dr Nazer Kibangou, Assistant technique pour le compte du Ministère et de l’AFD animé la rencontre.
Plusieurs temps forts ont marqué cette rencontre :
- l’intervention plaidoyer de M. Gaston Biyogo, coordonnateur de l’UGP (Unité d Gestion de Projet) pour le compte du Ministère de la santé,
- l’intervention du Dr Banzouzi pour présenter le processus de renforcement des capacités et les résultats clés,
- les présentations des résultats des projet par chaque ONG,
- l’intervention du Dr Lamarque (conseiller régional santé),
- l’intervention de la représentante de l’ONUSIDA,
- l’intervention du représentant de l’OMS puis l’intervention du Ministre de la santé.
Cette conférence qui a duré 4h était émouvante, chaque intervention ponctuée des séquences vidéos (court métrage le tchatcheur, témoignages, etc). Elle s’est terminée en chanson. Un buffet mémorable a été offert à tous les invités. Il faut noter que le ministre de la santé est resté à toute la cérémonie et son intervention non préparée et prononcée avec cœur a permis de bien souligner sa volonté de soutenir la société civile. Le maître-mot étant la professionnalisation des interventions avec l’engagement militant au service de la cause et faire reculer significativement le SIDA aux Gabon grâce à la volonté, l’engagement et le travail de toutes les parties prenantes.
|
EAU / HYGIENE /ENVIRONNEMENT
22.03.2014
Les élèves du collège de Guinette à Etampes et de plusieurs écoles de la ville se sont relayés pour courir toute la journée pour créer l’événement autour du projet Cong’Eau, qui vise la création d’un lavoir au village de Voungouta, en partenariat avec Médecins d’Afrique et les habitants du village.
Plus de 500 élèves mobilisés, de nombreux spectateurs (camarades de classes, enseignants, partenaires, parents d’élèves, presse...), 1237 bouteilles d’eau rapportées, 2969 km parcourus, 1855 L d’eau, le bilan est impressionnant !
Félicitation à tous !
Le prochain rendez-vous sera le dimanche 18 mai, de 9h30 à 13h, avec 3 parcours de course à pied (2km, 4km et 6km) sur la piste cyclable entre Saint-Hilaire et Etampes. Les participants donnent 5€ pour l’inscription à la course et s’engagent à verser 1 € par km parcouru ou à trouver un sponsor qui le versera pour eux.
|
|