NUTRITION ALIMENTATION
05.05.2014
Médecins d’Afrique a lancé officiellement le 02 Mai 2014 à Matadi, chef lieu de la Province du Bas Congo en République Démocratique du Congo (RDC) le « Projet de prévention de la malnutrition chronique chez les enfants de moins de 2 ans, dans le District sanitaire du Bas Fleuve », qui sera mené grâce à l’appui financier de l’UNICEF. La cérémonie du lancement officiel a été présidée par un représentant du Médecin Inspecteur Provincial et le PRONANUT Provincial. Elle a connu la participation de l’UNICEF, du chef du sous bureau de l’OMS, des membres de plusieurs ministères notamment ceux du Plan, de l’Agriculture et de la communication ainsi que des partenaires du cluster nutrition et sécurité alimentaire.
Ce projet d’une durée de 12 mois a pour objectif de contribuer à réduire la malnutrition chronique chez les enfants de 0 à 23 mois dans 5 zones de santé notamment par la mise en place de l’approche de nutrition à assise communautaire (NAC) pour les 3 axes d’interventions prévus :
- Promouvoir l’ANJE et les pratiques familiales clés ; - Assurer le suivi et promotion de la croissance ; - Coordonner, suivre et évaluer les interventions.
Les besoins en santé des nouveaux-nés et de la mère étant étroitement liés, le projet cible directement 17 870 enfants de 0 à 23 mois, 8825 femmes enceintes et allaitantes et indirectement 108 Agents de santé et 617 Relais communautaires (1 relais par village), dans les zones de santé d’Inga, Seke banza, Vaku, Tshela et Kuimba, dans le District du Bas Fleuve.
La croissance et le développement optimaux de l’enfant étant des conditions fondamentales des efforts du gouvernement pour accélérer le développement économique, Médecins d’Afrique a opté pour la phase 2 de la mise en œuvre du projet, de travailler uniquement en amont des conséquences de la malnutrition aiguë par la définition des actions de prévention de la malnutrition chronique.
Le Bas Congo est la 5ème province en RDC ayant des taux de malnutrition chronique inquiétant, 47% des enfants de moins de 5 ans souffrent du retard de croissance. Les raisons principales sont la méconnaissance des mères sur les bonnes pratiques de l’alimentation, de nutrition et de santé, l’éducation nutritionnelle des jeunes et à l’accès insuffisant des soins de qualité.
Article de Dr Rosette Christiane TSHIENDE Administrateur Survie Médecins d’Afrique RDC admsurvie.rdc@medecins-afrique.org
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CENTRE D’ETUDE ET DE RECHERCHE MEDECINS D’AFRIQUE (CERMA)
25.04.2014
Dans le cadre du renforcement des capacités de ses volontaires, Médecins d’Afrique organise tous les jeudis de 14h à 16h, des formations à leur intention sur différentes thématiques à son siège social sis au 23, rue Rivière, commune de Gombe à Kinshasa.
Le jeudi 17 Avril 2014, MDA a été honoré par la présence de M. Nathan MULUNDA, Assistant au bureau des Affaires Humanitaires OCHA en RDC, pour remettre à niveau les volontaires de MDA sur le mécanisme de coordination et la réforme humanitaire, y compris ses mécanismes de financement.
La présentation s’est révélée d’une importance particulière vue l’attention de plus de 35 volontaires appelés à apporter un soutien aux populations dans le besoin. Le choix porté sur ce thème était soutenu par le fait que Médecins d’Afrique voulait amener ses volontaires à bien intégrer les principes humanitaires fondamentaux et le fonctionnement de nos partenaires des Nations-Unies. Une discussion soutenue a sanctionné les échanges avec l’animateur du jour avec des préoccupations réfléchies. Ceci justifie le temps pris par cette présentation. La satisfaction à la fin était remarquable chez les volontaires. Un mot de la Représentante a clôturé la journée.
Maguy NGABU CHUMBU CHUDA
Secrétaire en Communication MDA/RDC
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URGENCES
04.04.2014
Médecins d’Afrique Guinée, sous la direction du Dr Denise Kamano, est mobilisé dans la lutte contre l’épidémie d’ebola dans son pays. La priorité absolue est de stopper la progression du virus tout en prenant en charge les victimes. Médecins d’Afrique a choisi de focaliser son action sur la communication et la mobilisation sociale.
La réunion du Comité National de Crise du 31 Mai 2014, a notamment défini pour la communication les pistes d’action suivantes :
• Diffusion des messages de sensibilisation au niveau des médias (radio, TV, internet)
• Sensibilisation dans les lieux de regroupement (Gares routières, marchés, débarcadères, etc.)
• Sensibilisation porte à porte et distribution de kits d’hygiène dans les villages ou quartiers touchés
• Production et diffusion du bulletin d’information de la santé,
Que faire chacun à notre niveau, au quotidien ? M. Tolno, membre de MDA Guinée, rappelle que quelques règles de base offrent déjà une première protection :
- Lavons-nous les mains à chaque contact avec quelqu’un et surtout avant de manger
- Evitons tout contact à main nue avec les personnes infectées (même leurs vêtements) quels que soient nos liens parentaux ou amicaux car ce virus ne connaît ni frère ni soeur ni ami
- Désinfectons régulièrement au chlore les sols, les toilettes
Les besoins, pour faire face à la crise, sont importants, à la fois en ressources humaines, matérielles et financières:
• RH: Cliniciens, Epidémiologistes, Psychologues, Communicateurs
• Matérielles: EPP, Chlore, savon, pulvérisateurs, médicaments, réactifs et consommables
• Financières: 711 000 $ mobilisés actuellement sur 3 500 000 $ nécessaires pour mener à bien le plan d’action
Vos dons sont les bienvenus pour nous appuyer !
Pour un don en ligne, voici le lien à suivre : http://www.easycoz.com/organisme/projets/medecins-dafrique.html
Pour nous contacter : medecins_afrique@yahoo.fr
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PROTECTION DES PERSONNES VULNERABLE & DEVELOPPEMENT DU JEUNE ENFANT
01.04.2014
Dans le cadre du projet RESASCO de Médecins d’Afrique (Redynamisation de la Santé Scolaire), une visite médicale a été organisée ce 25 mars 2014, dans la zone de santé de Kisenso avec la pleine participation des élèves de « l’école chrétienne DOVE », la promotrice Madame Cendrine Mongungu et celle des enseignants. Médecins d’Afrique a mobilisé pour l’occasion une équipe de 4 médecins généralistes, 1 psychologue, 1 médecin nutritionniste et 6 infirmiers volontaires, supervisés par Dr. Bruno NTOYA (administrateur santé MDA/RDC) pour faire des consultations médicales afin d’identifier les facteurs qui peuvent influencer et porter atteinte au rendement scolaire des élèves. Nous remercions l’UNICEF qui a mis à notre disposition du mébenbazole 100 mg pour le déparasitage des élèves. Cette activité a permis de réaliser une consultation médicale, un déparasitage et un screening nutritionnel pour 181 enfants, âgés de 3 à 15 ans.
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SANTE/VIH
23.03.2014
Il s’est tenu le 19 mars 2014 à Libreville la conférence de restitution du Projet d’appui à la société civile pour la lutte contre le VIH/SIDA. Médecins d’Afrique, après avoir contractualisé avec le Ministère de la Santé à travailler sur 2 ans au renforcement des capacités de 8 ONG sélectionnées via un appel à projet. Ce projet d’envergure a permis de faire émerger 6 ONG dont 2 des PVVIH. Un travail lourd et difficile au regard des difficultés intrinsèques des ONG locales. Ces dernières ont cependant relevé le défi avec des résultats forts intéressants comme la cartographie de sites de forte vulnérabilité (MICONE), la mise en place du système de référence contre référence (MICONE, ASI) sur le dépistage, l’identification des enfants PVVIH (AFCG), enquête de satisfaction des PVVIH (DTM), 4 Courts métrages pour la sensibilisation (Espoir), 23 émissions télévisuelles pour la sensibilisation et lutter contre la discrimination, des nombreuses VAD, Causeries éducatives, Enquête en milieu PS masculins (Conscience), etc.
Tous ces résultats ainsi que les outils produits ont été présentés devant un aréopage de personnalités (agences des nations-unies, ministère de la santé, entreprises, les bilatéraux, acteurs clés de la société civile de lutte contre le VIH, etc). Le Coordonnateur Europe en tant que chef de mission a présenté toutes les associations au Ministre de la santé, puis Dr Nazer Kibangou, Assistant technique pour le compte du Ministère et de l’AFD animé la rencontre.
Plusieurs temps forts ont marqué cette rencontre :
- l’intervention plaidoyer de M. Gaston Biyogo, coordonnateur de l’UGP (Unité d Gestion de Projet) pour le compte du Ministère de la santé,
- l’intervention du Dr Banzouzi pour présenter le processus de renforcement des capacités et les résultats clés,
- les présentations des résultats des projet par chaque ONG,
- l’intervention du Dr Lamarque (conseiller régional santé),
- l’intervention de la représentante de l’ONUSIDA,
- l’intervention du représentant de l’OMS puis l’intervention du Ministre de la santé.
Cette conférence qui a duré 4h était émouvante, chaque intervention ponctuée des séquences vidéos (court métrage le tchatcheur, témoignages, etc). Elle s’est terminée en chanson. Un buffet mémorable a été offert à tous les invités. Il faut noter que le ministre de la santé est resté à toute la cérémonie et son intervention non préparée et prononcée avec cœur a permis de bien souligner sa volonté de soutenir la société civile. Le maître-mot étant la professionnalisation des interventions avec l’engagement militant au service de la cause et faire reculer significativement le SIDA aux Gabon grâce à la volonté, l’engagement et le travail de toutes les parties prenantes.
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EAU / HYGIENE /ENVIRONNEMENT
22.03.2014
Les élèves du collège de Guinette à Etampes et de plusieurs écoles de la ville se sont relayés pour courir toute la journée pour créer l’événement autour du projet Cong’Eau, qui vise la création d’un lavoir au village de Voungouta, en partenariat avec Médecins d’Afrique et les habitants du village.
Plus de 500 élèves mobilisés, de nombreux spectateurs (camarades de classes, enseignants, partenaires, parents d’élèves, presse...), 1237 bouteilles d’eau rapportées, 2969 km parcourus, 1855 L d’eau, le bilan est impressionnant !
Félicitation à tous !
Le prochain rendez-vous sera le dimanche 18 mai, de 9h30 à 13h, avec 3 parcours de course à pied (2km, 4km et 6km) sur la piste cyclable entre Saint-Hilaire et Etampes. Les participants donnent 5€ pour l’inscription à la course et s’engagent à verser 1 € par km parcouru ou à trouver un sponsor qui le versera pour eux.
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SANTE/VIH
22.02.2014
Le 14 février, Journée de la Saint Valentin, l’ONG Médecins d’Afrique a mobilisé une équipe de 20 volontaires qui ont sensibilisé sur le VIH/SIDA 3627 personnes dont 2134 hommes et 1493femmes, de 16 à 45 ans dans la ville de Kinshasa - Article de Maguy Ngabu, Chargée de Communication MDA RD Congo
Thème : « AIMER C’EST PROTEGER CELUI OU CELLE QU’ON AIME, PROTEGEONS NOUS MUTUELLEMENT ».
Dans un contexte où le VIH/SIDA reste l’un des principaux problèmes de santé publique dans le monde, Médecins d’Afrique comme tous les ans s’est engagée à faire un petit geste en apportant sa pierre dans la lutte contre cette maladie.
Quatre équipes de 5 volontaires ont ainsi ciblé quelques points chauds de la ville de Kinshasa :
· Super Lemba dans le district de Mont-amba (bar tshétché, pomme verte et autres),
· Masina quartier 1 district de Tshangu (Planète J à N’djili, Food market hôtel apocalypse et autres),
· Bandal Tshibangu district de Funa (devant l’hôpital CBCO et plusieurs bistrots),
· Bon marché district de Lukunga (Cheetah, Daniella, place MM et autres) dans une ambiance festive.
La sensibilisation a porté sur la lutte contre le SIDA en expliquant l’« ABC » de lutte contre le VIH/SIDA c’est-à-dire Abstinence, Bonne fidélité et Condom.
La sensibilisation ne s’est pas arrêtée au niveau de la lutte, l’aspect préventif et informatif était également pris en compte car les volontaires MDA étaient disposés à répondre à toutes sortes de questions concernant la prise en charge des personnes vivant avec le SIDA, le mode de transmission ainsi que d’autres maladies sexuellement transmissibles. Ainsi quelques questions comme : « Quels sont les moyens de transmission du VIH/SIDA en dehors de la voie sexuelle ? » Ou « est-ce qu’une femme enceinte séropositive peut mettre au monde un enfant sain ? » ont trouvé réponse.
En effet,
· la contamination par voie sanguine et de la mère à l’enfant sont d’autres modes de contamination du VIH.
· Oui, une femme séropositive peut avoir un bébé sain, il faut au préalable que son état sérologique soit connu et qu’elle accepte d’être aidée à travers la prise en charge le long de ses consultations prénatales jusqu’à l’accouchement.
A l’issue de cette sensibilisation ont été distribués 23.372 préservatifs masculins, 330 préservatifs féminins et de nombreux dépliants de sensibilisation.
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EAU / HYGIENE /ENVIRONNEMENT
19.02.2014
Contexte : Plusieurs rapports, venant des autorités politico-administratives, du Médecin Chef de Zone de Tshela et de plusieurs ONG locales ont rapporté que le territoire de Tshela, situé dans le district du Bas Fleuve, a connu des fortes pluies du 03 au 06 février 2014 entraînant des dégâts matériels importants suite à l’inondation se traduisant par des maisons écroulées et endommagés. Une réunion de CPIA extraordinaire a été convoquée suite à cette situation mais une évaluation des besoins exacts était nécessaire pour être efficaces. C’est dans ce contexte qu’une mission inter-agences a été décidée pour se rendre à Tshela, affiner l’évaluation de la situation et faire ressortir les besoins pour appui. Y ont pris part : la DPS/Bas Congo, UNICEF, UNFPA, OMS, MDA, CARITAS, ADRA.
Résumé des observations : 1 934 personnes ont été affectées par les inondations, 645 pour Tshela, 1289 pour Kizu. 229 maisons se sont écroulée, une cinquantaine ont été endommagées. La population a perdu des cultures maraîchères, vivrières, du bétail et de la volaille. Quelques commerçants ont des stocks des marchandises endommagés, vivres et non vivres. Cette situation d’inondation a créé des sans-abris éparpillés dans les familles d’accueil localement craignant des risques de violences sexuelles ou d’autres formes de violences liés à la non acceptation des nouveaux venus. Il faudra aussi craindre le risque de propagation de maladies hydrique liées à un déficit de la qualité de l’eau, un assainissement de base précaires et à des mauvaises pratiques d’hygiène. Heureusement, tous les groupes de populations sinistrées sont accessibles et peuvent être assistés facilement sans déploiement d’une grande logistique.
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SANTE/VIH
06.02.2014
Aujourd’hui étant Journée Internationale de Lutte contre les mutilations génitales féminines, c’est un moment privilégié pour échanger avec les actrices de l’excision, qui est la plus répandue de ces pratiques.
Dans un contexte où les autorités sanitaires de la localité se plaignent des cas de problèmes de santé liés à l’excision, où certaines communautés continuent cette pratique, ce jour ne pouvait échapper à MDA/Sénégal pour mener une sensibilisation sur ce phénomène en présence surtout des femmes dont une parmi elles était exciseuse. Cette séance est tenue au village de Djibanar à 11heures du matin.
L’ex-exciseuse a reconnu les dangers de cette pratique féminine devant l’assistance et relais de quartiers en santé communautaire. Elle n’est en rien imposée par l’Islam, et à part la coutume, la dame n’a pu donner aucune raison concrète de pratiquer cette opération qui n’améliore pas la santé et n’est pas une garantie de « pureté » ou de « moralité » de la fillette excisée…
Les dangers ? Tout d’abord l’infection, étant donné les conditions plus que rudimentaires dans lesquelles elle est pratiquée. Ensuite, les fistules et les incontinences urinaires, sans parler de la douleur probable lors des rapports sexuels et les complications à l’accouchement… On ne fera pas évoluer les pratiques du jour au lendemain, mais déjà susciter un débat et replacer les choses dans leur contexte permet de montrer aux femmes et jeunes filles que l’excision n’est pas une fatalité que l’on doit accepter, mais une pratique dangereuse pour la santé et le bien-être des femmes qui peut être abandonnée si on le décide. Comme décider seul est s’exposer à un rejet, continuons les discussions communautaires pour que ceux qui décident d’arrêter la pratique de l’excision constatent qu’ils ne sont pas seuls et puissent défendre leur point de vue. Comme dit le proverbe « seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». Alors faisons ensemble reculer l’excision le plus loin possible.
Malang Ndiaye, Point Focal MDA Sénégal
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CENTRE D’ETUDE ET DE RECHERCHE MEDECINS D’AFRIQUE (CERMA)
03.02.2014
Ce 30 Janvier 2014 MDA/Sénégal a organisé à l’école de Djibanar II une séance de sensibilisation sur les thèmes: HYGIENE ALIMENTAIRE (eau potable) et GROSSESSES PRECOCES.
La séance a démarré à 15h20mn par une observation d’une minute de silence en la mémoire de Théodore Gabriel Jean NDECKY membre de MDA décédé la nuit du 24 Janvier 2014 à Ziguinchor. M. NDECKY a été professeur au Collège d’Enseignement Moyen de Djibanar depuis 5 ans.
Après un mot de bienvenue du Président de l’APE (Association des Parents d’Elèves) puis du Directeur de l’école d’accueil, le coordonnateur a pris la parole pour magnifier la présence massive des élèves surtout des filles et des enseignants avant d’ouvrir la séance. En effet, il est important que les filles soient sensibilisées sur le phénomène des grossesses précoces qui plombe la scolarité de nombreuses jeunes filles.
L’activité proprement dite s’est ouverte par le thème « grossesses précoces » avec la formule participative des questions réponses sous la conduite de Madame Diouf, enseignante à l’école I de Djibanar et licenciée en Santé communautaire à l’Université de Bambey au Sénégal, conférencière du jour. Des exercices sous forme de questions ont été soumis aux élèves. A la suite des réponses de ces derniers, Madame Diouf apportait des compléments d’informations.
Parmi les questions posées:
- Qu’est ce qu’une grossesse précoce ?
- Quelles sont les causes d’une grossesse précoce ?
- Quelles sont les conséquences d’une grossesse précoce ?
- Que faire pour éviter une grossesse précoce ?
Il faut souligner que Mme Diouf a été dans sa tâche épaulée par les autres enseignants présents à la séance.
A l’image du premier thème abordé, le second (hygiène alimentaire) a été développé sur la même formule (questions-réponses). Pour celui-ci, les exercices tournaient autour des questions:
- Quelles sont les sources d’approvisionnement de l’eau dans la localité?
- L’eau obtenue de ces sources est-elle immédiatement consommable, sinon comment faire pour la rendre potable?
- Nous avons 10 litres d’eau à rendre potable par le chlore, quelle quantité de chlore y mettre?
C’est autour de ces questions que le second thème a été développé. A la fin de tout ce travail, une synthèse a été faite tour à tour sur les deux thèmes par Madame Diouf. La séance prendra fin à 19h03mn avec les mots de remerciement du coordonnateur de MDA/Sénégal à l’endroit de l’assistance.
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