MEDECINS D'AFRIQUE
ONG Internationale des Médecins et Acteurs de Santé pour la Promotion des Soins de Santé Primaires
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SANTE/VIH
17.04.2013
Médecins d’Afrique conduit depuis 2012 un travail de renforcement des capacités de la société civile gabonaise de lutte contre le Sida. Ce travail est commandité par le ministère de la santé du Gabon et financé par l’AFD (Agence Française de Développement). Ce sont sur une cinquantaine d’ONG recensées, huit qui ont été retenues sur la base des projets via un comité de sélection. Les projets ont été lancés sur les thématiques suivantes : Appui à la lutte contre la vulnérabilité des Professionnels du Sexe face aux IST/VIH/SIDA dans la région sanitaire de Libreville/Owendo (ONG Conscience) ; PTME de proximité à AKEBE (ASI) ; Renforcement de la PTME dans les centres de santé d’Okala et d’Awendjé (ASFG) ; Appui à l’observance, aux soins et traitements auprès des enfants infectés par l’infection à VIH dans la commune de Libreville (AFCG) ; Scénario du Gabon - pour une sensibilisation originale du public lycéen sur le VIH-SIDA dans la région sanitaire de Libreville-Owendo (Association Espoir pour les enfants) ; Jeunes contre le VIH/SIDA à Kinguele (MICONE) ; Accompagnement psychosocial des PVVIH pour une meilleure observance (REGAP+) ; Appui à la prise en charge psychologique et nutritionnelle des PVVIH à Libreville-Owendo (DTM).

Depuis Décembre 2012, les 8 ONG sont sur le terrain pour la mise en œuvre de leurs projets sous la supervision de l’équipe locale de Médecins d’Afrique et l’équipe internationale. Dr Louvouezo (pour la partie suivi/évaluation) et Mr Mbemba Romuald (Spécialiste en finances) sont allés rejoindre l’équipe locale pour l’audit à mi-parcours des 8 projets. Objectifs, renseigner sur les indicateurs clés des projets, le respect du chronogramme, l’archivage et aussi le suivi/budgétaire des projets. Ce fut un moment important dans le monitoring des projets et l’identification des points d’achoppement avec par ricochet des réajustements spécifiques pour conduire ces projets à bon port.

Les ONG se sont bien appropriées leurs projets et la mise en œuvre relativement avancées, hélas avec des taux de réalisation moyens inférieurs à 40% et des taux d’absorption des fonds largement inférieurs (30% en moyenne). Le retard de démarrage à cause des festivités de Noël et Nouvel An, les faiblesses des ONG et les niveaux d’exigence dans les justifications, reporting expliquent ce taux. Au-delà du fait que certains points sont à améliorer, les ONG ont gagné en robustesse : systématisation de la production des rapports, des PV et CR de réunions, archivage conforme au bon management de projet et un bon suivi budgétaire. Il a été recommandé cependant à toutes les ONG de produire un plan d’accélération des activités pour la deuxième phase, de faire valider systématiquement les outils et rapport par Médecins d’Afrique avant l’envoi à l’UGP, de continuer à améliorer la qualité des rapports et de commencer à travailler sur les stratégies de communication par projet, l’identification des partenaires stratégiques et surtout à la capitalisation de cette expérience. Une dynamique très positive qui laisse penser que ce processus fera émerger 3 à 5 ONG sérieuse de lutte contre le VIH au Gabon. Cependant, un plaidoyer fort doit être fait auprès des Agences des Nations-Unies, les bilatéraux et le Ministère de la santé pour poursuivre cet effort d’appui au renforcement des capacités des acteurs de la lutte contre le VIH de la société civile gabonaise.
photoIntervention

CENTRE D’ETUDE ET DE RECHERCHE MEDECINS D’AFRIQUE (CERMA)
15.03.2013
La lutte contre la mortalité maternelle et néonatale passe par l’offre de service SR et l’utilisation (accessibilité) de ce service. Le renforcement des capacités des partenaires (ONGs locales et internationales et étatiques) dans les différentes thématiques Santé Reproductive/DMU est l’une des stratégies pour l’amélioration de la qualité de ce service offert à la population. Dans le cadre de la mise en œuvre du DMU qui est une norme de Sphère et sauve des vies, MDA a organisé à Bukavu du 5 au 9 Mars 2013, à travers UNFPA, un renforcement de capacités de son équipe cadre, des partenaires étatiques et des ONGs locales. Cette formation s’avère déterminante pour améliorer les connaissances et compétences des partenaires dans la mise en œuvre des activités pour une meilleure qualité de vie surtout pour la santé maternelle.

But de la formation :
· permettre la mise en œuvre du DMU dans toutes situations d’urgence qui se présentent
· prise en charge de qualité des victimes de violence sexuelles des zones cibles
· prise en charge adéquate des urgences obstétricales et néonatales dans toutes les situations d’urgence qui pourraient se présenter.
· meilleure prise en charge syndromique des IST


Bénéficiaires : 30 professionnels de santé dont 16 membres de l’équipe-cadre de MDA dans le Nord et le Sud Kivu, 6 membres des ONGs locales, 3 membres de l’UNFPA, 2 membres de l’ECZS de MINOVA, 2 membres de l’ECSZ de KATANA et 1 membre du PNSR Sud Kivu

Lieu : Centre Amani, Bukavu, Sud-Kivu, RD Congo

Approche : l’approche de formation adoptée était axée sur les compétences. Un pré-test et un post-test ont permis de déterminer la progression des participants. La formation s’est déroulée avec une alternance du brainstorming, d’exposés illustrés, de simulations, de jeux de rôle, d’exercices individuels et en groupe qui ont complété la démonstration organisée en station de travail. Le partage d’expérience et la résolution des problèmes ont été exploités comme méthode d’andragogie. Il était recommandé aux participants de d’acquérir avant l’atelier un certificat de formation en ligne sur le DMU.
photoIntervention

URGENCES
05.03.2013
La récente mission interagences menée du 14 au 21 février 2013 dans le Nord-Ubangui en Equateur a recensé plus de 15 000 réfugiés centrafricains, dont environ 7000 à Mobayi Mbongo. Ils fuient des conflits qui ont éclaté dans la seconde moitié du mois de décembre 2012 en République Centrafricaine (RCA). Dès la fin du mois de décembre 2012, plusieurs sources ont rapporté la présence de réfugiés centrafricains dans certaines localités des districts du Nord et du Sud Ubangi en République Démocratique du Congo (RDC). Leur nombre continue d’augmenter, et ils ont un besoin urgent d’assistance humanitaire.

Ce lundi 4 Mars, Médecins d’Afrique RDC, en lien avec le HCR, a commencé sur ses fonds propres à déployer sur le terrain une équipe constituée de spécialistes des urgences humanitaires, issus du Congo Brazzaville et du Congo Kinshasa. Il s’agit de mettre en place des activités pour la santé, la nutrition et l’accès à l’eau potable et à l’assainissement des réfugiés. Des réunions de concertation sont en cours avec les grandes agences de l’ONU (HCR, PAM, UNFPA) pour appuyer Médecins d’Afrique dans la mise en oeuvre de ces projets.
photoIntervention

PROTECTION DES PERSONNES VULNERABLE & DEVELOPPEMENT DU JEUNE ENFANT
20.01.2013
La santé scolaire est une composante importante dans l’éducation des enfants. Des enfants en bonne santé préservent leur capital d’avenir et sont mieux disponibles dans l’acquisition des savoirs. En effet, une mauvaise santé, des carences nutritionnelles, un environnement psychologique dégradé, sont autant de handicaps pour les enfants. Il s’agit d’un Projet transversal répondant à trois des quatre axes du PNDS (Plan National de Développement Sanitaire), à savoir : Renforcement du système de santé ; Survie de la mère et de l’enfant ; Protection de la santé et promotion des comportements sains. Quatre acteurs co-participent à ce programme : dirigeants des écoles, parents d’élèves, élèves et Médecins d’Afrique.

OBJECTIF

Objectif général : Contribuer à la réduction de la morbi-mortalité des élèves dans les écoles qui participent à la RESASCO
Objectifs spécifiques : Contribuer à l’amélioration des performances des élèves par une prise en charge médicale, nutritionnelle et un soutien psychologique précoces et adaptés ; Améliorer les connaissances sur les bonnes pratiques sanitaires dans les écoles.

STRATEGIES MAJEURES

Un examen médical systématique de tous les enfants est effectué par une équipe médicale formée préalablement. Les enfants présentant des signes de pathologies sont référés vers les centres de santé pour une confirmation et une prise en charge éventuelle.

ACTIVITES REALISEES

- Sensibilisation des directions de 26 écoles signataires de la convention de partenariat et des membres des associations de parents d’élèves
- Briefing des volontaires : 12 cette année
- Organisation du screening médical, nutritionnel et psychologique : au total 8225 élèves des écoles partenaires ont bénéficié des activités de screening dans 26 écoles privées et conventionnées.
- Collecte des données
- Références et suivi des cas vers les centres de santé
- Organisation des séances d’IEC à l’endroit des élèves

CONCLUSION ET PERSPECTIVES

Ce projet permet d’améliorer la prise en charge de la santé des enfants, les résultats scolaires, la vulgarisation des bonnes pratiques sanitaires, une cartographie des problèmes de santé en milieu scolaire et par voie de conséquence un investissement en matière d’aménagement sanitaire des écoles. Les activités de la RESASCO pourraient être étendues au niveau des écoles publiques en recherchant des fonds nécessaires auprès des potentiels bailleurs (privés, sociétés et autres) afin de faire bénéficier de ces activités un plus grand nombre d’élèves.
photoIntervention

URGENCES
05.01.2013
Les conflits armés dans le Nord-Kivu en Novembre 2012 ont occasionné un afflux de réfugiés dans le nord du Sud-Kivu. Le retrait des acteurs humanitaires habituellement présents dans la zone empêchant la collecte d’informations fiables pour monter des projets d’aide à ces réfugiés, une mission intercluster représentant 7 des 8 clusters opérationnels à Bukavu a été organisée du 29 Novembre au 1er Décembre pour évaluer la situation et faire des propositions.

Objectif de la mission :
‐ Faire un état des lieux global de la situation sécuritaire et humanitaire dans la zone ;
‐ Effectuer une évaluation rapide des besoins dans les différents secteurs, et des possibilités de répondre aux besoins les plus urgents ;
‐ Entreprendre des discussions avec les différentes autorités, particulièrement les autorités militaires, sur les questions relatives à l’accès humanitaire et à la protection des populations civiles.


Participants :
La mission a connu la participation de représentants de 7 des 8 clusters opérationnels à Bukavu (le cluster Logistique n’avait pas été invité car mission non pertinente), en plus de OCHA et de quelques partenaires ayant des activités et/ou plans d’intervention dans la zone, dont Médecins d’Afrique.

Résumé des recommandations de la mission :

- Protection : évaluer les besoins spécifiques des personnes en situation de handicaps et d’y répondre, prévenir les violences sexuelles par des actions à base communautaire et prendre en charge les victimes, sécuriser la population, effectuer un plaidoyer pour la libération des écoles et bâtiments publics, ranimer le dialogue
- Santé : Apporter un appui (MEG, en commodités de la maternité et prime des prestataires) aux 7 structures sanitaires actuellement non appuyées pour assurer la prise en charge médicale des déplacés, mettre en place un Dispositif Minimum d’urgence en santé reproductive et sexuelle dans la zone de santé de Minova, vacciner les enfants dans les sites de réfugiés, renforcer la lutte contre le choléra, former des prestataires pour la prise en charge des IST et VIH/SIDA, la chirurgie de guerre, la PCIME
- Nutrition : Assurer la continuité de l’approvisionnement des structures nutritionnelles à Minova et Bweremana et ouvrir une UNS à Minova
- WASH : Remplacer d’urgence les latrines remplies et/ou construire les latrines et douches supplémentaires dans les sites de Minova et Mubimbi (au moins 70 latrines , 40 douches et 10 trous à ordures ), accélérer les activités d’assainissement familiales, intensifier et coordonner la lutte contre le choléra
- SECAL : assistance alimentaires aux déplacés et familles d’accueil, relance de l’agriculture vivrière, surveillance des indicateurs de sécurité alimentaire dans la zone
- NFI et abris : détermination des besoins prioritaires et mise en place d’une stratégie de réponse
- Education : réhabilitation des salles de classe, assainissement des locaux, distribution de kits scolaires, aménagement d’espaces pour les activités récréatives.
photoIntervention

SANTE/VIH
01.01.2013
La Représentation Congo de Médecins d’Afrique, avec le financement de l’Union Européenne, propose d’assurer la promotion communautaire dans la gestion des problèmes d’accès aux soins de santé primaires, d’hygiène et d’approvisionnement en eau potable dans les quartiers périurbains de Mikalou-Madzouna de Brazzaville et Km4 à Pointe-Noire.

A Brazzaville, 46% de la population a recours à l’automédication en première intention. Au sein du quartier Mikalou-Madzouna à Brazzaville, la population estimée à 70 000 habitants parcourt souvent plus de 5 km pour se rendre au centre de santé le plus proche. De plus, le quartier se trouve dans un état d’insalubrité assez généralisé par l’absence d’un système d’évacuation des ordures ainsi que le manque d’activités promotionnelles. Dans le quartier Km4 à Pointe-Noire, à peine 34% de la population a accès aux soins de santé pour une population estimée à 20 000 habitants. 94,6% des ménages de ce quartier évacuent les ordures dans la nature, 34,5% utilisent les latrines non conventionnelles et 1,7% défèquent à l’air libre. Dans ces deux quartiers, il y a besoin de redynamiser l’implication des autorités locales et l’organisation de la communauté.

Permettre aux populations d’accéder aux soins de santé primaires, à l’hygiène et l’approvisionnement en eau potable

L’amélioration de l’accès aux soins de santé de base des populations passe impérativement par la disponibilisation des services (infrastructures, équipements, matériels…) et des ressources humaines. Deux centres de santé communautaires (CSCOM) dans les quartiers de km4 et de Mikalou-Madzouna seront construits sur les terrains mis à la disposition des communautés de ces quartiers par leurs mairies. Ces CSCOM seront dotés en équipement et matériel médical ainsi qu’en médicaments essentiels et génériques, consommables et autres réactifs, appareillage de laboratoire. Médecins d’Afrique formera le personnel de santé à la prise en charge des affections les plus courantes et les plus graves. Trois forages d’eau seront construits ou réhabilités dans l’optique de disponibiliser l’eau potable dans chaque centre de santé communautaire.

Faciliter l’appropriation du projet par la communauté

La particularité de l’approche tient à l’implication des populations pour garantir la pérennité du projet. Médecins d’Afrique appuie et met en place des organisations à base communautaire (OBC) chargées d’assurer la gestion durable des problèmes d’accès aux services sociaux de base. Ainsi, les comités d’hygiène et d’assainissement garantissent l’assainissement des quartiers par la mise en place notamment d’activités de collecte et d’évacuation des ordures ménagères. Les comités locaux de gestion d’eau veillent à la gestion de chaque forage. Les mutuelles de santé facilitent l’accès de la population aux CSCOM. Les comités de santé promeuvent les services des CSCOM. Les comités locaux de développement fédèrent toutes les OBC.

Ce projet d’une durée de 36 mois est mené par une équipe de 5 techniciens sous la direction d’un coordinateur de projet.
photoIntervention

NUTRITION ALIMENTATION
01.01.2013
En 2009 et 2010, un afflux massif de réfugiés venus de RDC est venu porter à plus de 150 000 le nombre de réfugiés vivant dans le département de la Likouala, au Nord-Est du Congo. En appui à la mise en œuvre du projet « Prise en charge des réfugiés en zones rurales », Médecins d’Afrique Congo, avec l’appui financier du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, a initié un programme spécial de prévention et de prise en charge de l’anémie, VIH/SIDA et Nutrition. Ce diaporama présente les activités réalisées sur les fonds spéciaux alloués au volet nutrition dans les zones de Bétou, Impfondo et Loukolela.

Objectif général : Contribuer à la réduction du taux de mortalités du à la malnutrition des personnes vivant dans les zones ciblés par le projet.

Objectifs spécifiques : - Renforcer les capacités des agents de santé des zones d’intervention retenues par l’action;
- Promouvoir les bonnes pratiques nutritionnelles et sanitaires dans les ménages des zones de Bétou, Impfondo et Loukolela ;
- Promouvoir les bonnes pratiques alimentaires avec les aliments locaux ;
- Garantir la collecte des données.

Activités menées et résultats :

1. Formation des agents de santé sur la prise en charge de la malnutrition : 3 sessions de formation ont été réalisées (Impfondo, Bétou et Loukoléla). Ces formations ont connu la participation effective de tous les agents qui y ont été invités

2. Sensibilisation des populations sur les bonnes pratiques nutritionnelles et sanitaires par les relais communautaires : les relais communautaires retenus ont utilisé la stratégie du porte à porte pour passer leur message. Les sensibilisations sur les bonnes pratiques nutritionnelles et sanitaires ont été couplées aux sensibilisations sur les violences sexuelles. Cette activité a également été réalisée dans les postes et centre de santé lors des activités de routines. Dans la zone de Bétou elle a eu la spécificité d’être appuyé par les démonstrations culinaires faites par la nutritionniste.
3. Prise en charge des cas de malnutrition : les cas de malnutrition modérée et les cas à risque de malnutrition ont été pris en charge dans tous les postes de santé dont les agents ont participés aux différentes formations. Quand à la prise en charge de la malnutrition sévère, elle s’est spécifiquement faite dans les grands centres à savoir : Bétou (au CSM), Impfondo (au poste de santé) et à Loukolela à l’hôpital de base. Tous les cas de malnutrition dépistés ont été pris en charge selon le protocole national de prise en charge de la malnutrition au Congo. 4. Supervision des activités des relais dans les sites : toutes les supervisions prévues ont été réalisées, grâce à elle on a pu faire le suivi des activités menées dans le cadre de ce programme. Toutes les supervisions se sont effectuées de manière groupée.
photoIntervention

EAU / HYGIENE /ENVIRONNEMENT
31.12.2012
Le samedi 17 décembre 2012 a eu lieu l’inauguration des ouvrages d’eau de Voungouta (micro-sources naturelles aménagées « modèle MDA » avec chambres de filtration et bassin de rétention, canalisations d’adduction d’eau et borne-fontaine) en présence du Sous-Préfet de Louingui, du Député suppléant de la localité, du Commissaire du District de Louingui, du Chef du village Voungouta, M. Mowa et des responsables de Médecins d’Afrique (le Secrétaire Général, le Coordonnateur Europe, qui a suivi le projet depuis son lancement, et le Représentant Congo).

Les 55 autres chefs de village du District de Louingui étaient également présents sans oublier tous les habitants du village, plusieurs membres de l’équipe MDA Congo et des représentants des scouts du Congo, qui ont appuyé le projet depuis l’été 2010. Voungouta a maintenant de l’eau potable ! Cette inauguration a eu lieu évidemment à Voungouta dans le district de Louingui du département du Pool au Congo.

A cette occasion des protocoles d’accords ont été signés entre MDA et les 56 chefs des villages de Louingui sur les questions d’eau et approuvés par le Sous-Préfet du district, ce qui permettra à MDA de pouvoir reproduire le modèle Voungouta dans les autres villages.
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PROTECTION DES PERSONNES VULNERABLE & DEVELOPPEMENT DU JEUNE ENFANT
17.12.2012
L’explosion du dépôt d’armement de la caserne du régiment blindé de Mpila à Brazzaville le 4 mars 2012 a causé plus de 200 morts, 2500 blessés et plus de 25000 personnes déplacées internes.
Ils ont été accueillis dans des sites ouverts par le gouvernement. Parmi les cinq sites fonctionnels actuellement, trois disposent de postes de santé qui prennent en charge les soins de santé primaire. Les cas de complication sont référés vers les hôpitaux de référence. Au cours d’une évaluation multisectorielle, 225 femmes enceintes visibles, 86 femmes allaitantes ont été identifiées.
Afin d’offrir aux populations déplacées le service complet de santé de la reproduction y compris les soins obstétricaux et néonataux d’urgence, Médecins d’Afrique a bénéficié d’un appui financier de l’UNFPA (Fonds des Nations Unies pour la Population).

Former les agents de santé en santé de la reproduction
Les connaissances du personnel intervenant dans les postes de santé des sites des déplacés et dans les hôpitaux de référence en matière de santé de la reproduction nécessitent d’être renforcées. Aussi, 23 sages femmes et 16 infirmiers/infirmières ont été recyclés en santé de la reproduction notamment la planification familiale, la consultation pré-natale, les soins obstétricaux et néonataux d’urgence, la vaccination.
Les hôpitaux de référence ont également été dotés en kits de santé de la reproduction, en équipement de maternité et de soins obstétricaux d’urgence afin de faciliter la réalisation des accouchements et de prendre en charge des complications d’accouchements.
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Sensibiliser sur le VIH la population déplacée
Après avoir été briefés sur les aspects fondamentaux liés à l’infection à VIH, et sur les techniques de communication pour le changement de comportement, 10 animateurs mènent des séances de sensibilisations sur le VIH/SIDA auprès des populations des sites des déplacés.

Ces séances sont couplées à la distribution de préservatifs. Leur participation est volontaire et gratuite. Ces séances organisées hebdomadairement jouent un véritable rôle dans le changement de comportement de la population.
photoIntervention

CENTRE D’ETUDE ET DE RECHERCHE MEDECINS D’AFRIQUE (CERMA)
28.11.2012
On November 14th, the team of Medecins d’Afrique (Doctors of Africa) Kenya carried out a sensitization on drug and alcohol abuse at Kibera Kids Youth Organization Center Hall, in the slums of Kibera. 30 members attended the sensitization and paid keen attention. The interactive question/answser session at the end of the visit was very interesting. Most of the participants left contact details so we could stay in touch afterwards. The MDA Team to the site as usual included Josue Tchishibandji (Country Rep), Lea Bansimba (HR), Paul Mburu (Field Coordinator) & Salome (Volunteer).

Kibera slums is well renowned all over the world as the biggest slum in sub Saharan Africa, home to around 1,000,000 inhabitants within a region of less than 5sq Miles. This population faces severe social, political, cultural and economic challenges. The HIV record in Kibera is higher than any other area in Kenya, while the poverty index is among the highest in the world. Food and Nutrition deprivations are common factors in the region, with the majority of households barely able to afford one meal a day; a balanced diet notwithstanding. Due to the many factors and lifestyle influences, alcohol and drug abuse is a normal way of life, as the community attempts to rub away the harsh realities facing them. Indeed, the very place where we carried out our campaign was surrounded by many idle youths smoking marijuana, and the air was filled with the smell thereof!

As it is with our Sensitization and Mentorship campaign, we got contacts to the director of the Kibera Kids Youth Group through one of our team members who worked as a volunteer with the Ministry of Gender and Social Development in Kibera. The director was tasked with the responsibility of mobilizing youth around the community and inform them of Medecins D’Afrique aims and objectives. The turnout was good, and we were able to speak to over 30 members, who paid keen attention to the presentation and at the end of the session, we had an interactive question/ answer session. We intend to widen our outreach to this vast area so as to cover more of this very vulnerable target group.
photoIntervention

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